On a calculé la matrice des interactions électrostatique et orbite-spin de d*p en profitant des résultats déja obtenus pour d* |, L’équation séculaire est adaptée approximativement aux valeurs experimentales des niveaux d’énergie de cette configuration dans Ti IJ. On donne simultanément les valeurs calculées et les empiriques. 

Plusieurs faits font penser que le phénoméne de la conversion interne ne peut pas étre dai exclusivement a un effet photo-électrique identique & ce que, par opposition, on a appelé depuis effet photo- -électrique externe. Nous présenterons ici deux de ces faits, les plus généralement cités. 

...résolution de Videntité, est un opérateur de projection avec les propriétés: suivantes 

Parmi les différentes méthodes utilisées pour l’étude du spectre  du rayonnement 7 il y en a deux qui permettent d’obtenir des mesures précises des longueurs d’onde: — la spectographie cristalline et l’analyse du spectre β de conversion interne. 
Voyons de plus prés quelles sont les causes d’erreur qui interviennent dans ces deux méthodes. La spectrographie cristalline est basée sur la formule de Bragg.

Lorsqu’on étudie au moyen d’une chambre d’ionisation associée 4 un amplificateur proportionnel les réactions induites dans le cklore par les neutrons, il y a lieu de considérer les quatre cas suivants:

Sur la myopie nocturne. Dans les travaux d’Otero et Duran, parus dans plusieurs numéros des «Anales de Fisica y Quimica de Madrid»; on étudie un phénoméne qu’on a appelé myopie nocturne, et qui se produit de la maniére suivante:
Quand on contemple un object placé l´infini avec l´illumination justement indispensable pour qu’on puisse le voir avec netteté, l’ail se comporte comme sil avait une myopie de —2 dioptries relativement & la maniere dont il se comporte avec une illumination parfaite.

1. Des les débuts de la mécanique ondulatoire', on s'est préoccupé de généraliser les équations fondamentales de manidre d leur permettre de satisfaire aux conditions d’invariance de la théorie de la relativité ; cependant, pour des raisons dont le sens n’est apparu que beaucoup plus tard, cette généralisation n’a pas conduit aux résultats importants que l’on aurait pu escompter tout d’abord.

Pour obtenir le spectre de rayons X du radium D nous avons activé dans une atmosphére de radon une anticathode d’un tube A rayons X démontable.
En effet, on aurait pu préparer l’anticathode soit par activation soit par dépot électrolitique en partant d’une solution de RaD+E-+F.
 

1. But du travail. L’explication des phénomanes ferromagnétiques et, en particulier, l’existence d’un travail d’aimantation, exigent, comme Von sait,' une orientation déterminée des vecteurs élémentaires 5. représentatifs de l’aimantation, méme en l’absence de champ extérieur.

La question de l’introduction des variables du champ électromagnétique dans la théorie de l’électron, proposée par Dirac, fait l’object d'un grand nombre d’études. Le point de vue phénoménologique commun de ces recherches est de considérer dés le début un systime constitué de deux parties, particule et champ, reliées par une interaction puissante,...

I—LES FONCTIONS ALEATOIRES
1. L'idée statistique en physique. C’est 4 la fin du siécle dernier et au début de ce siecle que /’idée statistique, s’introduit avec succes dans la physique mathématique, avec la théorie cinétique des Gaz (Maxwell, Boltzmann), la mécanique statistique de W. Gibbs; la théorie du mouvement brownien (Einstein, Smoluchowski). Elle a continué a y faire son chemi - bien que sous forme déguisée et indirec— taveec les nouvelles mécaniques (L. de Broglie, Heisenberg, Schrodinger, Dirac).

Introduction. Le rayonnement 7 émis par l’uranium et leur descendants immédiats a été étudié, soit par absorption, soit par spectrographie magnétique. Par la premiére de ces méthodes, quelques auteurs ont déterminé plusieurs valeurs du coefficient d’absorption, correspondant a différents rayonnements 7, mais les résultats different beaucoup selon auteur. 

1, Cette étude a été entreprise dans le but d’éclaircir un doute soulevé par un travail de E. Amaldi et F. Rasetti, publié dans «La Ricerca scientificay XVII, 111, 1939. 
En effet, le spectre β de conversion interne de la transmutation RaD -> Rak a été étudié par spectrographie magnétique par Danysz en 1913, Ellis et Meitner en 1914, Black en 1925 et Curtiss en 1926. 

Introduction. Au cours d’une série d’expériences réalisées dans le but d’étudier, par la méthode d’absorption, le rayonnement γ émis par les descendants immédiats de l’uranium I, et dont Jes résultats ont été déja publiés [1], nous avons signalé l’existence d’un nouveau type de rayonnement naturel, dont les propriétés suggéraient qu’il s’agissait de neutrons. 

Nous avons réalisé une série de déterminations, dont les résultats ont été déjé publiés [1], sur l’absorption du rayonnement γ  émis par les descendants immédiats de l’uranium en employant une source d’oxyde d’uranium. Maintenant, nous avons répété toutes les mesures d’absorption, mais en employant cette fois une source d’UX complexe. Cette source a été obtenue A partir du nitrate d’uranyle, en faisant l’extraection de UX par entrainement avec le florure de cérium. 

NOTE — Dans le volume 1 (1944) — Fase. 3 — P. 95-150, de cette Revue, nous avons publié la premiére partie d’un mémoire sur la «Mécanique Aléatoire». Avant de passer 4 la seconde partie, nous présentons ici: 1.°) quelques errata, d’ailleurs de peu d’importance, relatifs au texte déji paru et rectifiant des fautes typographiques.  

1. Objet du travail. Il y a quelque temps qu’on emploie dans la technique, des piles a électrode de charbon actif; cependant la connaissance scientifique et théorique de son action est encore & ses débuts. D’aprés les théories classiques de l’Electrochimie et malgré que le carbone ne puisse former aucun ion, on pensait qu’il fonctionnait comme une électrode d’oxygéne: celui-ci est adsorbé par le carbone et pendant le fonctionnement de la pile il passe à ion OH^-, ou encore, selon la composition de lélectrolyte, d’autres procedés d’oxydation pourront avoir lieu et, en tout cas, on vérifie celui qui exige le potentiel le plus bas.